Pichon-Longueville-Comtesse-de-Lalande, 1983, 75 cl

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Quand boire : 2019 to 2035

Parker : 98/100

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SKU : haut-Pichon-Longueville-Comtesse-de-Lalande, 1983, 75 cl

Description

Quand boire : 2019 to 2035

Parker : 98/100

Gabriel :

Maturité de consommation finir de boire
Évaluation 18/20
Déjà savouré quatre ans après sa naissance dans une folle phase de fruité de 18/20 points. Puis j'ai eu l'impression qu'il mûrissait trop vite et qu'il connaissait une renaissance inattendue. Bue une bouteille au château en 1993 : bouquet ouvert, immédiatement séduisant, cèdres et fines herbes, pleinement ouvert. En bouche, beaucoup de pression, bien équilibré, rétro-arôme puissant avec douceur de raisin de Corinthe et chocolat. Un magnum prodigieux en 1996. On se demande sérieusement s'il y avait du chêne américain dans ce vin ? Puis une bouteille Impériale que j'ai ouverte à la Saint-Sylvestre 1999 : le bouquet est marqué par la douceur du bois de santal, la noix de coco et le beurre de cacao. Un Rubens-Pauillac tout en rondeur, incroyablement plaisant. Magnifiquement doux, mais élancé. 00 : La fascination s'estompe lentement. Les bouteilles normales tendent vers la fin de la maturité de dégustation et se situent maintenant à 17/20 points. 03 : Magnum : Vin rouge à forte maturité avec un bord orange brunâtre. Bouquet gras et sucré, prunes rouges cuites, pralines, beurre, caramel, vraiment sexy. En bouche, un concentré de douceur de fruits secs, de bois de santal, de gianduja, de grains de moka glacés, de tanins juteux et pourtant l'épice légèrement verte du poivre dans la longue finale qui s'aplatit toutefois. Encore un magnum sur une souche de cerf, qui prouve que les magnums sont extrêmement mûrs et que les bouteilles normales présentent certes encore une variante de nez gras, mais que le palais devient maintenant de plus en plus mince (17/20). Et encore un magnum. Cette fois-ci au Coburg à Vienne. Le nez était à nouveau plus haut que le palais. (17/20). 13 : Grenat clair, tons de maturité correspondants. Malte foncé au nez et praliné foncé, notes de réglisse, magnifiquement expansif. En bouche, de la sève, de l'élégance, de la soie, des tanins très fins, il danse vraiment à travers le palais, peut-être un peu flétri, mais avec une maturité finale fantastique. (18/20). 13 : À Zell am See : Grenat moyen, bord rouge brique. Début drogué, caramel, candi, notes de noix, beurre, bois de santal, nez très érotique avec un soupçon de douceur de cabernet. En bouche, une orgie de tanins doux, qui ne suit que de peu le très coté 1982, une douceur boisée en arrière-plan (grand vieux Rioja), beaucoup de pralines dans une finale concentrée. Une super bouteille. 19/20 ! 13 : Magnum. Rouge vineux éclaircissant, bord orange. Caramel, bois de santal et prunes, une douceur subtile, comme toujours un soupçon de capsicine comme épice de cabernet, en deuxième approche du chocolat noir. Une bouche juteuse et très élégante, une fluidité incroyable, une finale harmonieuse. Cela fait des années que je prêche ici qu'il faut absolument le boire jusqu'au bout et il est toujours aussi incroyablement agréable à boire à chaque contact.

 

 

Informations complémentaires

Poids 1.3 kg