Description
Gabriel :
| Maturité de consommation | maintenant |
|---|---|
| Évaluation | 17/20 |
| Grenat éclaircissant, bord fin à l'extérieur. Bouquet ouvert, encore bien intact, épices terreuses, pruneaux. En bouche, doux, moelleux et très agréable, il reste cependant dans une certaine discrétion gustative. Easy going - bien conservé ! (17/20). 13 : Le magnum a été accueilli en se frottant les yeux lors de mon invitation à la cave. Beaucoup de personnes invitées avaient déjà vu une bouteille à plusieurs reprises, mais le fait qu'il y ait un magnum débouché sur la table a été le coup de tonnerre du Splendid. J'ai prévenu qu'il s'agissait certes d'un Pétrus, mais d'une année difficile pour le pomerol. Mais ce n'était pas si mal. Le bouquet de prunes âgées abandonnées, de fraises des bois rabougries, de terre d'automne et de chocolat à cuire. La douceur et l'originalité compensaient largement. La bouche est ample (grâce au merlot...) et la finale présente des tanins discrètement friables et amers comme du chocolat noir. Mais il est bien connu qu'on ne regarde pas dans la bouche d'un cheval donné. Même Gabriel, dont les attentes n'étaient pas trop élevées, a été solidement dépassé. Il y avait sans doute un peu de bonus de magnum. (17/20). 15 : Robe rouge vineux moyenne, encore assez intacte, seuls les reflets orangés sur le bord indiquent sa maturité. Bouquet délicat, ample, d'une merveilleuse douceur parfumée, pralines aux noix claires (gianduja), thé froid aux fruits (rooibos). Après 10 minutes, des traces de feuillage, de réglisse et de sol forestier mouillé. Palais crémeux avec un beau fondant, toujours assez homogène, avec en finale une note de merlot légèrement flétrie. Malgré tout, ce Pomerol choyé est encore étonnamment présent. La finale a beaucoup de pression. | |
